lundi 31 août 2009


Et voilà notre ami le Radis dans toute sa majesté!

Trucs de mise en page : j'ai photographié un vrai radis de nos plantations, et pour qu'il se détache mieux, j'ai fait les contours au feutre fin noir indélébile (noir profond).
J'ai ensuite travaillé le montage par collage en utilisant des motifs récupérés dans des livres et plus ou moins agrandis à la photocopieuse. Outils nécessaires : ciseaux, colle et fantaisie (appareil photo et photocopieuse, bien entendu).
Les dossiers des élèves, dans leur cahier de vie sont en tirage N&B, mais ils ont tous bénéficié, en fin d'année de la copie de toutes les photos et mini vidéos, de tous les documents également stockés sur mon ordi. Ils possèdent donc la version couleur sur clé USB ou sur DVD. Cela m'a pris pas mal de temps pour faire les copies, mais j'ai la satisfaction d'avoir donné aux enfants un témoignage irremplaçable de leur 1ère année d'école.
Pour ceux qui seraient tentés, je précise que j'ai fait signer, en début d'année, à tous les parents, une autorisation spécifique pour prendre leurs enfants en photo. Ces documents n'ont fait l'objet d'aucune publication ni stockage sur internet. Cela m'a donné un travail énorme de copie, mais vraiment, ça valait la peine.
A travers ces photos, les parents ont pu mieux pénétrer la vie de la classe et surtout, il s'établit nécessairement des échanges enfant/parents autour des images, et c'est bien le but : parler, dire, décrire, partager, expliquer, communiquer, en un mot, maîtriser le langage.

Demain, c'est la rentrée des enseignants!

Et voilà ces fameuses fleurs qui ne s'ouvrent que sous la caresse du soleil!


Un tout petit peu de moi au milieu du Petit Jardin.

Demain, je ne ferai pas la rentrée. L'année dernière, j'ai juste émargé à la pré-rentrée, et j'ai cédé la place à une remplaçante qui n'a eu, pendant tout l'année scolaire qu'une énorme angoisse : que je reprenne ma classe!

Fin juin 2008, j'ai appris que ma surdité, progressive depuis 25 ans, et appareillée, venait de passer le seuil des -110db. Et j'étais toujours en poste, et même, comme toujours, embarquée dans des projets "extraordinaires", avec le soutien sans faille de "mes" parents d'élèves, qui, je l'avais remarqué, multipliaient les gestes pour soutenir nos échanges.
En septembre, les -120 étaient atteints. Même équipée des appareils les plus performants, je ne pouvais plus ignorer que je n'appartenais plus au monde des entendants avec lesquels la communication était de plus en plus délicate.
Impossible de reprendre une classe.
Ne pas faire la rentrée ne m'a pas trop coûté : les élèves n'étaient pas encore "mes" élèves. Pas de liens. Pas de douleurs immédiates
Fin octobre, j'étais implantée et mi-novembre, mon processeur était activé. Avec succès.
Je suis revenue au monde des sons signifiants, avec cependant une énorme restriction : impossible de distinguer un son particulier parmi d'autres sons quand il y a beaucoup de monde. Effet immédiat : impossibilité de revenir en classe, évidemment.
C'est en relançant mon projet de Petit Jardin sur le net, que je mesure, aujourd'hui, le Manque.
Rien qu'en relisant le projet, j'ai des idées qui fusent. Il y a encore tant de choses à faire.
C'est peu dire que j'apprécie les échos que vous me renvoyez, par vos commentaires, vos questionnements, vos enthousiasmes.
Je ne suis pas malade, juste sourde, désormais implantée. J'ai le privilège extraordinaire d'avoir bénéficié des dernières avancées de la science et de la recherche : je suis une femme bionique.
Seulement, l' Éducation Nationale ne sait que faire de personnes comme moi et m'encourage à trouver une autre voie. Le Petit Jardin sera peut-être l'opportunité. Il peut intéresser d'autres secteurs en dehors des Écoles : Maisons de retraite, Hôpitaux, Prisons etc... tous lieux communautaires n'ayant pas nécessairement un terrain à cultiver.
Je ne ferai pas la rentrée cette année encore, mais des projets se profilent, tous passionnants.
Pour reprendre un expression galvaudée par les sitcoms : "elle est pas belle, la vie?"

Alors, à toutes celles et tous ceux qui fréquentent ce blog, même les timides qui n'osent pas laisser un mot, je dis BONNE RENTRÉE! Profitez-en. aimez vos élèves, estimez leurs parents, ils vous le rendront au centuple!
Moi, je tâcherai de vous accompagner avec mon ordi...et mes idées...en toute simplicité, en toute amitié!

Attention, je ne suis pas à plaindre. Un sens me fait défaut, mais les autres se sont développés en conséquence. Je suis bien comme je suis. Ce qu'élèves et parents m'ont renvoyé, et les messages de sympathie que je continue de recevoir font que je peux être fière de l'enseignante que j'ai été. Et ça, c'est important. Pour maintenant, et pour demain.

Alors, 2 mots et c'est tout : BONNE RENTRÉE !

dimanche 30 août 2009

L'intérêt de travailler sur le vivant, c'est qu'il nous réserve toujours des surprises!






Ce que j'apprécie dans mon métier, c'est que, même si je suis là pour transmettre des savoirs et initier des compétences, je suis moi-même, toujours en situation d'apprentissage.
Ce vers blanc m'a amenée à explorer le web, et ensuite à questionner les spécialistes de "La main à la pâte". Pour son confort et les besoins de nos observations, nous l'avons installé dans un pot en plastique transparent avec des rognures de sa souche pourrie bien-aimée, en veillant à maintenir une bonne hygrométrie à l'aide d'un vaporisateur. Le dernier jour d'école, nous l'avons réinstallé dans sa vieille souche pourrie, avec tout le respect dû à son rôle de "recycleur" potager.
Aucun élève n'a été dégoûté- horrifié-contrarié par son aspect.
Seules les enseignantes de l'école ont été réfractaires à la bête. Dommage pour leurs élèves : ils ont raté les séances de grignotis de bois pourri, et bien d'autres choses encore, et ils ne sauront peut-être jamais que les petits scarabées vert doré que l'on rencontre parfois au jardin naissent de la métamorphose de ce vers blanc "répugnant" et s'appellent des cétoines dorées.

samedi 29 août 2009

les hôtes du Petit Jardin



Évidemment, dans le Petit Jardin, nous ne sommes pas seuls... après limaces et escargots baveurs, ce sont les oiseaux qui se sont livrés à un vrai festival.
Il y a quelques années, nous avions construit une Maison des Oiseaux qui permettait de les nourrir sous abri. En lisière de parc, la Maison accueillait de nombreuses mésanges, mais aussi des moineaux, étourneaux, merles et pigeons. Malheureusement, avec les alertes à la grippe aviaire, la table d'hôte avait fini par disparaître.
L'installation extérieure des plantules, les semis, les plants de laitues et de fraisiers, ont finis par rameuter la gent ailée : c'est qu'il y a des petites bêtes à picorer dans les jardins, et aussi, des petites graines qui ne germeront jamais...
Nous sommes donc partis à la chasse. J'avais acheté des boites d'observation équipées de loupes et en route pour l'aventure.
Parmi le matériel "pédagogique" divers qui équipe ma classe, se trouve une boite contenant des petites bêtes plus vraies que nature dont certaines cependant de taille démesurée (fourmi et mouche géantes!) que les élèves ne se lassent pas de manipuler. J'y ai même adjoint, l'année dernière, une colonie d'araignées orange et noires, tout droit sorties d'un sachet Halloween. Si certains élèves sont parfois réticents en début d'année, ils acceptent cependant assez vite de toucher ces bestioles en plastique.
Dans la boite, mélangés aux insectes et araignées, se trouvent également des poissons et des crabes.
Le premier travail, tout spontané, consiste toujours à trier les objets en 2 catégories : ceux qui vivent dans la mer, et les autres. Ensuite se différencient bien sûr crabes et poissons...et on en profite pour élargir le vocabulaire avec carapace, pince, squelette, arête, etc...
La différence entre insecte et araignée n'est évidemment pas évidente -pour bien des adultes d'ailleurs, l'araignée est un insecte. Et pourtant non! et on en profite, l'air de rien pour apprendre à compter jusqu'à 6 et jusqu'à 8. Inutile en petite section, de se poser la question immédiate de savoir si l'un est plus grand que l'autre. On observe simplement que ce n'est pas pareil. Il y a des petites bêtes à 6 pattes qui sont des insectes, et d'autres à 8 pattes qui sont des araignées. Savoir déterminer l'appartenance à l'une ou l'autre des catégories est déjà un travail qui exige des compétences certaines de dénombrement. Ce sont des acquisitions de connaissances qui dépassent même le programme de petite section, mais qui se font naturellement parce que dans la nécessité et le plaisir.
Lorsque je demande à mes élèves de se "dépasser", je leur dis qu'ils doivent être attentifs parce que nous allons faire un travail difficile. Et ça marche!
J'en veux pour exemple l'apprentissage des couleurs, il y a quelques années. D'habitude, je procédais à travers l'histoire des souris-peintre et nous nous contentions des primaires et des complémentaires en explorant les mélanges de peintures. Cette année-là, je racontais, depuis de nombreuses semaines, l'histoire fétiche de l'année, dont je commençais sérieusement à me lasser du succès : le Petit Chaperon Rouge. Un matin, je changeais la couleur et annonçait l'histoire du Petit Chaperon Vert. Protestations immédiates, bien entendu. Mais j'ai persisté, et avec l'aide des élèves, nous avons exploré les échantillons de couleurs présents dans la classe. Puis, nous avons cherché ce que pouvait bien manger le petit chaperon orange ou violet, etc. Le soir m'a vue découper dans du bristol des silhouettes de maisons dessinées dans les couleurs repérées. A chaque maison correspondait une silhouette de Chaperon de couleur identique. Les élèves ont eu pour mission d'aller par groupe dans les autres classes, chercher des petits matériels de couleur, pour "meubler" la maison. Le toit de chaque maison s'ornait du mot écrit dans sa propre couleur. Il y avait dans la classe, un enfant qui portait un pull de toutes les couleurs. J'ai annoncé, théâtrale, que j'allais leur apprendre un mot très difficile : multicolore. Le succès a été tel que des années après, il ne se passe pas une journée sans ce que ce mot soit prononcé.
Et c'est là que l'anecdote intervient : l'année suivante, je croise une de mes anciennes "petites" qui se plaint d'un élève qui a fait une grosse bêtise en classe, et elle me dit, gravement : "la maîtresse était très en colère, elle était rouge, elle était violette, elle était verte, elle était multicolore!"
Tout cela pour dire qu'on peut repousser les limites des apprentissages. Il suffit de motiver et de ne pas abuser non plus.
Chaque élève a choisi sa couleur préférée et a reçu une silhouette de maison. Il a eu pour mission de collecter des images, des photos ou des petits objets de couleur identique, à coller sur la feuille qui a rejoint le cahier de vie.
Pour en revenir à la chasse aux petites bêtes, notre butin a été maigre : des fourmis, des gendarmes et une seule petite araignée. Après observation sur place, puis ensuite, de retour en classe, dans les boites équipées de loupes, nous les avons remis en liberté.

jeudi 20 août 2009

A suivre...

c'est pas fini!

Silence, ça pousse!


Jardiner!




La culture sur palettes




Et voilà "l'invention"!

En résumé, il faut, pour une structure qui tienne debout toute seule :

- 3 palettes industrielles de récupération dont les dimensions peuvent varier,
ATTENTION : laisser de côté les palettes colorées. Le produit, sans doute un fongicide, rouge ou bleu est toxique au point qu'on ne peut même pas récupérer le bois pour alimenter un barbecue.
- de la vieille toile cirée ou tout autre surface imperméable et solide (comme des vieux sacs de supermarché),
- de la ficelle (récupérée auprès de mon facteur)
- une agrafeuse murale

et évidemment :

- du terreau de plantation, à acheter dans les jardineries ou autres ,
- de la terre de jardin à récupérer auprès des parents "à jardin",
ne pas hésiter à solliciter le service paysager de votre commune, sinon, tapez dans la coop!
L'idéal est de pouvoir disposer d'un mélange de 50% de terreau "plantation" à acheter + 25% de terre de jardin à se faire offrir + 25% de perlite, à acheter en jardinerie. La perlite est une roche volcanique qui permet d'aérer la terre et de retenir l'eau par capillarité, donc de dynamiser la prolifération des racines...avec beaucoup plus de racines, la plante se nourrit mieux et grandit plus vite et plus belle, tout en limitant les arrosages. Cependant, il est tout à fait possible d'oublier la perlite, et même la terre de jardin... Il n'y a dans nos bacs que du terreau, parce qu'à ce moment-là mes connaissances jardinières en étaient encore aux tâtonnements,

- des graines variées : en général, les parents ont de l'imagination, et pour peu que vous montriez de l'enthousiasme, ils vont se retrouver très vite en situation de parrainage...J'ai vu arriver des sachets de graines, et même des systèmes très sophistiqués de bandelettes de plantation avec graines incorporées, alors que je n'avais rien demandé,

- des semences de haricots, qui poussent beaucoup mieux que les haricots secs destinés à la consommation . C'est un peu plus cher, mais il y en a beaucoup dans une boite, et elle peut alimenter 3 années scolaires,

- des plants de laitues diverses, de fraisiers et de fleurs,

- un engrais biologique (suivre le mode d'emploi).


Comme notre activité de jardinage a démarré tard, juste après les vacances de printemps,
mener de front semis et plants tout prêts, a présenté l'avantage de pouvoir observer dans un même temps, la naissance de la plantule après la mise en terre de la graine, et la floraison puis la fructification.
Les bébés-fraisiers et les bébés-plants de tomates-cerise élevés dans nos bacs à semis ont tous été repiqués dans des pots et emmenés à la maison. Et il y en avait tant que les "moyens" sont venus participer à une activité de repiquage pendant la sieste des petits.


On peut envisager d'utiliser les palettes à l'unité, solidement maintenues à un mur. Prévoir, dans ce cas, l'usage d'une perçeuse électrique, des chevilles et des vis adaptés. Ne pas hésiter à faire appel aux bonnes volontés. Demander tout de même l'autorisation au propriétaire des lieux (en général la mairie) avant de transformer un mur en gruyère!

Les palettes disposent en général de 3 étages équipables. Surtout, ne pas "zapper" celui du bas sous prétexte que la terre est basse. C'est le poids de la terre qui va assurer la stabilité de l'ensemble.

J'indique dans ma fiche qu'il faut percer 3 trous pour assurer le drainage. A l'usage, je me suis rendu compte qu'un seul suffisait, au milieu. J'ai utilisé ce que j'avais sous la main : un tournevis cruciforme... parce que je suis une maîtresse jardinière et aussi bricoleuse!


Les photos permettent de repérer tout de suite l'intérêt des palettes, en dehors de leur aspect économique et durable : les enfants sont à la hauteur pour jardiner et pour observer. Aucun risque de chute due à une bousculade "pour voir". Autre avantage non négligeable : l'activité jardinage sur palette laisse les chaussures propres. Pas de terre collées sous les semelles... ce ne sont pas les "dames"(ou agent de surface, comme on dit en langage administrativement correct)qui me contrediront.

J'en suis donc à économique, durable (recyclage), ergonomique, hygiénique, mais aussi esthétique (les végétaux qui poussent sur des structures de bois, c'est tout de suite beau)...viennent ensuite la socialisation, l'apprentissage du partage des tâches, la coopération du groupe qui s'organise nécessairement pour être efficace, etc... tout cela dans le plaisir.

Ce Petit Jardin, c'est rien que du bonheur!

progression




La progression occupe une double page...il y a donc un petit collage à faire pour joindre les 2 documents!

Petite erreur de vocabulaire dont je viens juste de m'apercevoir...et pourtant, il y en a eu des lecteurs, mais personne n'a rien relevé!
J'ai utilisé le terme "numérisation" sur l'un des pétales, en lieu et place de "numération", bien sûr.

Le jardinage, un projet à croissance rapide tout juste maîtrisé

mode d'emploi 1


Il me semble intéressant et nécessaire que je précise ma façon de travailler : mes élèves disposent , chacun, d'un cahier de vie dans lequel sont consignées toutes les activités de la classe .
Ce cahier est remis à l'élève à chaque période de vacances, mais aussi, également, quand le besoin s'en fait sentir : visite de mamie, hospitalisation, ... ou simplement envie de l'emmener chez soi.
Il est à disposition dans la classe, et chacun peut le feuilleter quand il en a envie.
Les parents sont mis à contribution avec des pages réservées à "ma famille", "mes vacances", etc, dont le but est de servir de vecteur de langage (pas pour satisfaire une curiosité malsaine de ma part!). Les parents -qui sont des parents d'élève primo-arrivant, donc souvent tout neufs- comprennent très vite l'enjeu du cahier de vie, et surtout que ce cahier n'est ni leur cahier, ni le mien, qu'il n'est pas là pour faire une démonstration de leur implication artistique, mais qu'il doit constituer un témoignage durable d'un an de vie scolaire, et pas le moindre, puisque c'est le 1er...
J'ai initié cette pratique il y a 12 ans, et je sais que mes "anciens" feuillettent toujours avec délices leur cahier de 1ère année de maternelle.
Mes penchants naturels pour le travail bien fait m'ont fait soigner les mises en page : un beau cahier se respecte mieux et se consulte plus.
Pas question d'écrire mes textes explicatifs à main levée. Avant la démocratisation de l'ordinateur, je prenais soin d'écrire droit guidée par une feuille lignée.
Et il faut soigner la mise en page et la décoration Comme je ne suis pas encore habile en montages divers sur l'ordi, je bidouille à l'aide de collages et je scanne. J'utilise souvent des motifs repérés dans des livres.l est important d'expliquer le pourquoi et le comment d'une progression pédagogique : les parents sont alors plus à même d'apprécier le travail et les efforts fournis par leur enfant.
Détail qui a son importance, y mettre une note d'humour et d'empathie est le meilleur moyen d'intéresser, de motiver et de fidéliser les parents. Parce qu'il ne faut pas se leurrer, le moteur indéfectible des apprentissages reste l'affectif. On apprend d'abord pour faire plaisir...à ses parents, à sa maîtresse, etc...
Le cahier est un vecteur formidable d'échanges à tous les niveaux.
Des parents m'ont dit un jour : on attend toujours avec impatience LE Cahier, parce qu'on adore lire vos petits mots. On découvre avec vous, qu'en fait, on sait plein de choses sans le savoir, et on se sent plus intelligent. Et surtout, on se rend mieux compte de ce qui se met en œuvre au niveau de l' enfant. On réalise souvent que ce qui parait simple et évident ne l'est pas tant que ça.

Allez, en route donc pour les premières pages de ce dossier pédagogique.

Les fiches du dossier peuvent être agrandies en cliquant dessus. Ce sont les copies fidèles de celles collées dans les cahiers de vie des élèves. Si vous rencontrez des problèmes de lecture, n'hésitez pas à me le dire.

mardi 18 août 2009

Promis!


Demain, dès la première heure, j'alimente ce nouveau blog autour de mon "invention" qui permet de cultiver sans jardin...

Avis aux pédagogues et éducateurs, at autres animateurs, voilà un projet qui a enchanté pendant plus de 4 mois ma classe de 25 petits de 3 ans. Et je ne parle pas de ma fidèle Nathalie, précieuse et efficace assistante (j'abhorre le mot ATSEM), ni des nombreux parents de toute l'école, toujours prêts à me suivre dans mes expérimentations aventureuses...